Cette année encore, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement du 5 juin, nos équipes terrain ont organisé des plantations d’arbres réunissant employés, partenaires et bénéficiaires autour d’un objectif commun, celui de s’enraciner pour l’avenir en posant des gestes concrets amenant un changement environnemental transformateur à l’échelle mondiale.
La plantation a eu lieux aux postes de santé de Maka Kahone et de Sibassor, dans la région de Kaolack. Cette région renferme des sites sablonneux et de vastes zones inondables appelés «tannes» où le bois de mangrove a été fortement exploité. Les «tannes» posent des problèmes d’assainissement et d’habitat avec l’intrusion des eaux usées, la stagnation des eaux de pluie et la remontée des eaux de la nappe salée.
Sept espèces ont été plantées soit le cocotier, le filao, le ficus vert, le ficus benjamina, le peltophorum pterocarpum, le terminalia mantaly, le bougainvillier et leTroyenne. Ces espèces servent dans certains cas d’ornement pour embellir les sites ciblés et dans d’autre pour procurer de l’ombre aux bénéficiaires des dispensaires. Toutes les espèces choisies s’adaptent bien à la salinité des sols.
La plantation s’est tenue au Zawadi Memorial Health Training Institute, une école de sciences infirmières de la région de Moshi. Ce site a été choisi parce que que la santé est intimement liée à l’environnement et à l’écologie et que les jeunes qui y étudient représentent la génération qui devra s’adapter aux changement climatiques.
Trois types d’arbre ayant chacun leur spécificité ont été sélectionnés pour être plantés, soit des arbres procurant de l’ombre, des arbres donnant des fruits et des arbres fournissant du bois. Plus globalement, les étudiants sont invités à réaliser que prendre soin des gens et prendre soin de l’environnement se fait avec le même respect.
C’est la localité de Jaco, située près de Vialet, qui a été ciblée pour cette plantation. Plusieurs activités ont été organisées en parallèle, dont une conférence-débat ayant pour thème les problématiques de réchauffement climatique et l’agro-écologie comme alternative de responsabilité environnementale et de l’éco-citoyenneté. L’intention était de transmettre le message qu’au-delà du geste de planter un arbre, il est du devoir de chaque citoyen, pour sa survie, de protéger chaque plante et espèce vivante dans l’espace où il évolue.
Les arbres plantés sont des manguiers, des cèdres et du bamboo.
La plantation a été faite dans un périmètre maraîcher du village de Doubabougou, situé dans la commune de Sagabala du cercle de Kolokani.
Les arbres plantés sont des citronniers, reconnus comme économiquement rentables puisque très productifs et dont les fruits sont en demande toute l’année sur le marché. Les arbres plantés serviront aussi de haie protectrice pour le verger qui compte également des papayers.
La plantation s’est tenue dans la communauté de Lacaya du gouvernement municipal autonome de Pucarani, département de La Paz qui présente un intérêt manifeste pour les actions environnementale, notamment à travers l’implications des élèves de l’école. Une collecte de déchets a aussi été organisée pour sensibiliser la population à la génération de déchets et leur élimination.
Des pins, des acacias et des retamas ont été plantés en raison de la disponibilité des semis et leur capacité à s’adapter aux conditions édaphiques et climatiques de la région. Ces arbres fourniront de l’ombre, une protection contre l’érosion et des espaces de connexion avec la nature pour les élèves.
La plantation a visé les maisons des familles d’enfants atteints d’handicaps qui fréquentent la Unidad Educativa Especializada Fiscomisional Nuestra Señora del Carmen, une école spécialisée.
Des enseignants, des animateurs d’insertion professionnelle, des élèves et leurs familles, et des bénévoles ont participé à la plantation.
Les bénéficiaires ont choisi de planter des orangers, des citronniers et des mandariniers, ainsi que des plantes médicinales et condimentaires.
Cela favorisera la consommation d’agrumes d’un côté alors que la culture des plantes médicinales permettra aux jeunes d’accéder à un projet d’employabilité.
L’équipe TSF a participé à la création d’une micro-forêt d’une superficie de 400 m2 dans un parc de Candiac, en Montérégie, avec une plantation d’arbres de petit calibre. Cette plantation a été réalisé à travers le programme de crédit carbone de TSF, en partenariat avec la coopérative Arbre-Évolution.
L’équipe a planté environ 300 des 1000 arbres et 230 arbustes devant composer la micro-forêt, dont des chênes, des érables, des bouleaux et des résineux. Cette plantation contribuera à améliorer la biodiversité et réduire les îlots de chaleur.
La plantation s’est tenue au Zawadi Memorial Health Training Institute, une école de sciences infirmières de la région de Moshi. Ce site a été choisi parce que que la santé est intimement liée à l’environnement et à l’écologie et que les jeunes qui y étudient représentent la génération qui devra s’adapter aux changement climatiques.
Trois types d’arbre ayant chacun leur spécificité ont été sélectionnés pour être plantés, soit des arbres procurant de l’ombre, des arbres donnant des fruits et des arbres fournissant du bois. Plus globalement, les étudiants sont invités à réaliser que prendre soin des gens et prendre soin de l’environnement se fait avec le même respect.
C’est la localité de Jaco, située près de Vialet, qui a été ciblée pour cette plantation. Plusieurs activités ont été organisées en parallèle, dont une conférence-débat ayant pour thème les problématiques de réchauffement climatique et l’agro-écologie comme alternative de responsabilité environnementale et de l’éco-citoyenneté. L’intention était de transmettre le message qu’au-delà du geste de planter un arbre, il est du devoir de chaque citoyen, pour sa survie, de protéger chaque plante et espèce vivante dans l’espace où il évolue.
Les arbres plantés sont des manguiers, des cèdres et du bamboo.
La plantation a été faite dans un périmètre maraîcher du village de Doubabougou, situé dans la commune de Sagabala du cercle de Kolokani.
Les arbres plantés sont des citronniers, reconnus comme économiquement rentables puisque très productifs et dont les fruits sont en demande toute l’année sur le marché. Les arbres plantés serviront aussi de haie protectrice pour le verger qui compte également des papayers.
La plantation s’est tenue dans la communauté de Lacaya du gouvernement municipal autonome de Pucarani, département de La Paz qui présente un intérêt manifeste pour les actions environnementale, notamment à travers l’implications des élèves de l’école. Une collecte de déchets a aussi été organisée pour sensibiliser la population à la génération de déchets et leur élimination.
Des pins, des acacias et des retamas ont été plantés en raison de la disponibilité des semis et leur capacité à s’adapter aux conditions édaphiques et climatiques de la région. Ces arbres fourniront de l’ombre, une protection contre l’érosion et des espaces de connexion avec la nature pour les élèves.
La plantation a visé les maisons des familles d’enfants atteints d’handicaps qui fréquentent la Unidad Educativa Especializada Fiscomisional Nuestra Señora del Carmen, une école spécialisée.
Des enseignants, des animateurs d’insertion professionnelle, des élèves et leurs familles, et des bénévoles ont participé à la plantation.
Les bénéficiaires ont choisi de planter des orangers, des citronniers et des mandariniers, ainsi que des plantes médicinales et condimentaires.
Cela favorisera la consommation d’agrumes d’un côté alors que la culture des plantes médicinales permettra aux jeunes d’accéder à un projet d’employabilité.
La plantation s’est tenue au Zawadi Memorial Health Training Institute, une école de sciences infirmières de la région de Moshi. Ce site a été choisi parce que que la santé est intimement liée à l’environnement et à l’écologie et que les jeunes qui y étudient représentent la génération qui devra s’adapter aux changement climatiques.
Trois types d’arbre ayant chacun leur spécificité ont été sélectionnés pour être plantés, soit des arbres procurant de l’ombre, des arbres donnant des fruits et des arbres fournissant du bois. Plus globalement, les étudiants sont invités à réaliser que prendre soin des gens et prendre soin de l’environnement se fait avec le même respect.
C’est la localité de Jaco, située près de Vialet, qui a été ciblée pour cette plantation. Plusieurs activités ont été organisées en parallèle, dont une conférence-débat ayant pour thème les problématiques de réchauffement climatique et l’agro-écologie comme alternative de responsabilité environnementale et de l’éco-citoyenneté. L’intention était de transmettre le message qu’au-delà du geste de planter un arbre, il est du devoir de chaque citoyen, pour sa survie, de protéger chaque plante et espèce vivante dans l’espace où il évolue.
Les arbres plantés sont des manguiers, des cèdres et du bamboo.
La plantation a été faite dans un périmètre maraîcher du village de Doubabougou, situé dans la commune de Sagabala du cercle de Kolokani.
Les arbres plantés sont des citronniers, reconnus comme économiquement rentables puisque très productifs et dont les fruits sont en demande toute l’année sur le marché. Les arbres plantés serviront aussi de haie protectrice pour le verger qui compte également des papayers.
La plantation s’est tenue dans la communauté de Lacaya du gouvernement municipal autonome de Pucarani, département de La Paz qui présente un intérêt manifeste pour les actions environnementale, notamment à travers l’implications des élèves de l’école. Une collecte de déchets a aussi été organisée pour sensibiliser la population à la génération de déchets et leur élimination.
Des pins, des acacias et des retamas ont été plantés en raison de la disponibilité des semis et leur capacité à s’adapter aux conditions édaphiques et climatiques de la région. Ces arbres fourniront de l’ombre, une protection contre l’érosion et des espaces de connexion avec la nature pour les élèves.
La plantation a visé les maisons des familles d’enfants atteints d’handicaps qui fréquentent la Unidad Educativa Especializada Fiscomisional Nuestra Señora del Carmen, une école spécialisée.
Des enseignants, des animateurs d’insertion professionnelle, des élèves et leurs familles, et des bénévoles ont participé à la plantation.
Les bénéficiaires ont choisi de planter des orangers, des citronniers et des mandariniers, ainsi que des plantes médicinales et condimentaires.
Cela favorisera la consommation d’agrumes d’un côté alors que la culture des plantes médicinales permettra aux jeunes d’accéder à un projet d’employabilité.